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 Interview - Can you hear.fr - Printemps de Bourges - 08.06.2015

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AuteurMessage
Lou Piu
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Lou Piu

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Interview - Can you hear.fr - Printemps de Bourges - 08.06.2015  Empty
MessageSujet: Interview - Can you hear.fr - Printemps de Bourges - 08.06.2015    Interview - Can you hear.fr - Printemps de Bourges - 08.06.2015  EmptyMar 9 Juin 2015 - 12:36

Interview - Can you hear.fr - Printemps de Bourges - 08.06.2015  Recoup_15

AaRON a semé le doute au Printemps de Bourges en apparaissant d’abord sous le nom de Blouson Noir. Quelques heures avant son passage sur scène, le duo a répondu à toutes nos interrogations concernant son retour, lors d’une conférence de presse.


    > Vous êtes venus au Printemps de Bourges programmés sous le nom de Blouson Noir. Mais après quelques recherches, on voit que vous êtes toujours AaRON. Du coup, comment doit-on vous appeler ?

Simon : En fait, c’était AaRON depuis le début. L’idée de Blouson Noir était de revenir par la musique. On vient de terminer l’album il y a quelques semaines à peine et on nous a proposé de jouer ici. On s’est dit que le Printemps de Bourges c’était intéressant si on le prenait à l’envers. C’est-à-dire que c’est un festival découvreur, et ce qu’on a fait avec cet album est une vraie recherche de musique assez intense. On a travaillé pendant environ un an et demi presque tous les jours en studio tous les deux. Et on trouvait ça intéressant de revenir sous un nom qui porterait que la musique. AaRON est un groupe qui a eu pas mal de succès, donc au Printemps de Bourges naturellement on nous présente dans des salles un peu grandes. Alors on trouvait ça intéressant comme challenge de recommencer à zéro, à savoir d’arriver et de donner au concert le nom de Blouson Noir, qui est le premier titre de l’album qu’on avait prévu de sortir il y a deux jours pour faire le lien entre les gens. Blouson Noir est une espèce de métaphore sur un manteau de nuit. C’est un peu le manteau de l’intime que chacun emporte avec soi partout. On trouvait ça intéressant de le matérialiser dans ce mot, et d’arriver comme ça en faisant une espèce de petit clin-d’œil. On espérait que ça ferait un peu de bruit et que ça serait rigolo, car c’est ludique les festivals, et ça fonctionne bien donc on est excités. Donc oui, on s’appelle AaRON et Blouson Noir est le premier titre de l’album.


    > Ça n’aurait pourtant pas été incohérent de changer de nom, Moby le fait bien avec Voodoo Child.

Simon : Oui mais on ne s’est pas vraiment dit qu’on changeait de nom. C’était nécessaire pour nous de revenir sans avoir une étiquette de quelque chose d’un peu établi qui fonctionne, parce que ça peut aussi te coincer parfois. Là le fait de revenir exclusivement avec la musique, ça permet de présenter les choses calmement, parce qu’après on a le temps d’être AaRON. Tu n’as pas la même écoute avec un petit groupe que tu viens découvrir. C’est ce qui nous plaisait là dans les premiers retours du titre Blouson Noir, quand les gens ne savaient pas encore que c’était AaRON, c’est quand les gens de la musique nous appelaient pour nous signer comme ça. C’est génial de revivre un truc un peu nouveau ! Là on est programmés avec Ghost Culture, ce ne sont pas des débutants non plus, ce sont des groupes intéressants. Et de revenir dans une salle comme ça, beaucoup plus brute, beaucoup plus Blouson Noir en fait, c’est cool.


    > C’est un choix que vous avez fait de ne pas jouer dans une salle plus grande, en fait ?

Olivier : Bien sûr. On voulait revenir dans des salles qui sont plus à taille humaine.

Simon : On a le temps, on va le faire et ça sera génial. Mais l’énergie qu’il y a là, dans un petit club, c’est aussi ce qui est plaisant. Là on revient d’Istanbul où on a proposé les morceaux aussi et c’est assez dingue parce que c’est une autre communication. L’album s’appelle We Cut The Night et du coup on a cet esprit de « couper la nuit » ensemble, et symboliquement c’est assez fort. D’arriver et d’avoir ce truc de musique beaucoup plus brute et de pouvoir voir la tête des gens, c’est assez excitant.


    > Justement ce titre, il a une connotation très électro, très inhabituelle par rapport à ce qu’on peut connaitre de votre répertoire. Est-ce que tout l’album sera orienté électro-pop dansante ?

Simon : Si t’écoutes bien, on a toujours mélangé de l’électro, même dans notre premier album.

Olivier : Old Song est très électro. Mais non ce ne sont pas que des morceaux avec un électro-pop dansant. On a resserré beaucoup de choses donc je pense qu’on a un album très homogène. On va dans une direction beaucoup plus précise. Mais tout s’équilibre. On a des morceaux un peu plus calmes.

Simon : Et puis ce qui était intéressant pour nous aussi, c’était de pouvoir avancer. Rien qu’entre le premier et le deuxième album, il y a une différence de production sonore. Une fois que c’est fait, c’est fait. On aime bien passer à autre chose, même si on intègre aussi un peu ce qui s’est passé, et aller vers la suite. Donc, je crois que c’est plus en harmonie avec ce que l’on est aujourd’hui. Au-delà même du mouvement musical qui moi m’emmerde, et je pense qu’Olivier aussi, parce qu’on a jamais rêvé d’être un groupe de pop ou de rock ou d’électro. On fait surtout des polaroïds de moments, de ce qu’on est, et on transforme ça en musique. Là, c’est ce que l’on est aujourd’hui.

    > Ce positionnement musical de Blouson Noir est une idée qui vous est venue dès le début ?

Olivier : Non pas du tout. Sincèrement, c’est venu très naturellement. Et c’est ce qui se passe dès le début. Ça faisait pas mal de temps qu’on avait arrêté, on faisait chacun nos trucs de notre côté. Plusieurs fois on s’est vus et on se demandait « qu’est-ce qu’on fait ? On y va ? On n’y va pas ? » . Et en fait, Simon m’a fait écouter le début de Blouson Noir, et d’un seul coup, tout est devenu une évidence. J’avais aussi fait des choses de mon côté et ça allait aussi dans cette direction-là. C’est-à-dire que comme on disait tout à l’heure, on avait besoin de changements. On ne regarde pas derrière donc on a besoin d’avancer, d’essayer de nouvelles choses qui nous excitent un peu. Au début on se demandait si on n’allait pas un peu trop loin. Et puis, on s’en fiche en fait. On s’écoute, on fait ce qui nous inspire, et ça s’arrête là.

Simon : Tu verras, on est très très heureux de cet album. Il est exactement comme on voulait.


    > Vous avez l’air en tout cas, vous avez un grand sourire depuis tout à l’heure !

Simon :
Tu sais, c’est étrange, mais là ça fait tous les jours depuis un bon moment qu’on est que tous les deux en studio. Et donc là, quand tout d’un coup tu sors un titre, que ça fait un bordel autour de Blouson Noir, c’est tellement kiffant. Toute proportion gardée, quand j’ai fait écouter Blouson Noir à Olivier, je n’étais pas sûre de vouloir continuer. J’avais besoin de comprendre où on allait. Un groupe qui a du succès, c’est fantastique, mais ça peut aussi être écrasant parfois quand les gens t’incarnent plus que toi. Du coup, là, les premiers retours qu’on a c’est génial, car ça veut dire acceptés dans ce que l’on propose. Et je pense qu’au-delà même le fait d’avoir du succès, l’important pour n’importe quel artiste c’est d’être compris. De capter, de créer et d’un coup on dit « on est d’accord ». Là c’est excitant car ils sont d’accord, et ils sont bien d’accord !



Interview - Can you hear.fr - Printemps de Bourges - 08.06.2015  Recoup_25


    > Pour le moment vous avez fait combien de concerts depuis votre retour ?

Olivier : Un seul et là ça sera le premier en France ce soir.

Simon : C’était excitant de pouvoir être programmés dans ce festival-là, car le Printemps de Bourges a une réputation de découvreur de talents. En plus c’est un peu avant l’été, donc pour les autres festivals, ça lance un truc. Il y a plein de groupes géniaux qui émergent de là. Alors dès qu’on a pensé à cette idée de revenir sous un autre nom, on s’est dit que Bourges était cohérent. Maintenant, ce qui sera vraiment très excitant, ça va être ce soir à 23h00.


    > Vous n’avez pas trop d’appréhension ?

Olivier
: Si, tout le temps, mais ça fait partie du métier.

Simon : Je vais gerber avant ! (rires)

Olivier : C’est un peu spécial mais de toute façon, c’est un métier qui est fait d’extrêmes tout le temps. Ce qui va être une première pour nous ce soir, c’est que cela va être la première fois qu’on joue les nouveaux morceaux avant que l’album soit sorti. C’est un nouveau défi.


    > Est-ce que vous allez quand même jouer d’anciens morceaux ?

Simon : Oui mais pareil, ils ont bougé un peu. Ce qui excitant vu que l’album n’est pas encore sorti, c’est qu’on fait une espèce de bande-annonce de ce qui va se passer. On joue que 45 minutes donc c’est juste un aperçu de tous les concerts qui vont se dérouler à la rentrée et pendant l’année d’après. On lance un truc, donc il faut s’amuser avec ça. Les anciens morceaux seront là parce qu’on les aime aussi, mais il faut juste les refaire par rapport à ce que l’on fait aujourd’hui. Du coup, ça va être 45 minutes très intéressantes !


    > Vous en n’avez pas marre que les gens associent tout le temps AaRON à U-Turn ?

Simon :
En fait, tout le monde ne le dit pas, donc ça va. Ça aurait été terrible si depuis six ans on ne nous parlait que de ça et qu’on n’avait jamais vraiment existés. Mais on a fait tellement de tournées, et le deuxième album, c’est con à dire, mais il s’est très bien vendu aussi, que du coup ça a validé un truc. Je pense que j’aurais tout arrêté si ça avait vraiment été le cas, mais on a réussi à construire un vrai truc de groupe, donc c’est ça qui est plaisant.


    > On ressent sur Blouson Noir ce que vous faisiez avant en live. Vous aviez besoin de ça ?

Simon :
Peut-être que les deux se rattrapent. Mais je crois que ça nous dépasse un peu. Sur le tout premier album, on faisait tout péter et c’est ce qui nous excitait à mort, donc peut-être que oui, on se rattrape un peu là-dessus. On se reconnecte à ça. Mais on ne parle pas en terme de se rapprocher de telle ou telle chose, c’est vraiment plus une réflexion sur comment on va exprimer un sentiment et sur qu’est-ce qu’on va faire du son qu’il y a sur le nouveau synthé.

Olivier : On est un peu dans un laboratoire avec des jouets donc il faut qu’on soit excités par de nouvelles choses. Après, chaque album pose ses limites.


    > Justement, pour le deuxième album vous disiez que vous aviez besoin d’insouciance. Là pour le troisième album, vous avez eu besoin de quoi ?

Simon :
Moi j’ai eu besoin de faire confiance à Olivier. Enfin, ce n’est pas que j’avais perdu confiance en lui, hein, il ne faut pas mal interpréter ! (rires) J’avais besoin d’abandonner des choses. Dans ma tête, je ne me suis pas dit que c’était le troisième album d’AaRON, je me suis dit qu’on allait faire de la musique et qu’on verrait ce qu’on en ferait après. Et quand je dis faire confiance à Olivier, c’est parce que c’est la première fois qu’on avait un vrai studio et du coup, on n’avait besoin de rien à part se retrouver tous les deux, et créer ensemble. Je pense que c’est vraiment le premier album où l’on est à égalité des forces Olivier et moi, où on prend et on donne tous les deux vraiment à la même mesure. J’avais besoin de poser des choses. Je pars du principe que si tu n’as rien à dire, tu dois te taire. C’est d’ailleurs peut-être pour ça qu’on prend du temps entre chaque album. On attend d’avoir des choses à raconter, et là ça bouillonne et on y va.


    > Ça se ressent sur la première pochette qui est sortie justement, ce parallélisme entre vous deux.

Simon :
Oui exactement ! C’est la première fois qu’on bosse avec une boîte de graphistes, qui s’appelle Akatre, et on a vraiment discuté avec eux de ce qu’on voulait faire. Vous verrez la pochette qui est complètement cohérente avec celle qui vient d’arriver, la pochette de l’album. C’est un peu con, mais je suis très content parce que pour nous deux, c’est très important une pochette d’album. On a aussi travaillé sur plein de symboliques, sur l’idée de couper la nuit ensemble, qu’elle soit réelle ou imaginaire.

    > Le prochain single, ça sera Onassis normalement ?

Simon :
Peut-être !


    > Qu’est-ce que vous pouvez dire de ce morceau ?

Simon :
C’est un morceau sur la Renaissance et sur apprendre à lâcher-prise. Mais vu ce qui se passe sur Blouson Noir, on va peut-être attendre un peu…


    > Justement, quels sont les thèmes abordés dans vos textes ?

Simon :
Je crois que je suis très monomaniaque et très obsessionnel. Je parle de choses qui m’obsèdent donc accepter qui on est. Du coup, je crois que la Renaissance est importante. Quand tu te dis que tu es multiple, que tu n’es pas qu’une seule personne, que tu n’es pas enfermé dans un truc et que tu peux en acceptant des traits de ton caractère, qu’ils soient bons ou mauvais, peut-être te trouver. Après on est encore jeunes, donc on verra plus tard. Mais j’adore ces idées-là. J’ai rencontré quelques auteurs entre temps qui m’ont passionné, et j’essaye depuis de sécher mon écriture, d’être le plus brut possible dans mes rimes et dans mon « travail ». J’essaye de raconter en allant au cœur-même des choses. Et ce qui est intéressant, c’est que je trouve qu’Olivier a plus ou moins la même démarche quand on cherche des sons. La fusion entre la musique et le texte est là et raconte toujours la même chose.


Interview - Can you hear.fr - Printemps de Bourges - 08.06.2015  Recoup_34


    > Je me posais une question, entre Depeche Mode et Hurts, qu’est-ce qui aurait pu vous influencer le plus ?  

Simon :
Cette phrase des influences musicales, je crois que ça ne veut rien dire. Quand tu fais un troisième album, tu sais où tu vas. Quand tu montes un groupe, oui tu as des influences, surtout quand tu veux faire partie d’une famille, être un rockeur par exemple. Mais moi, et je pense que c’est pareil pour Olivier, c’est plus une recherche de sons et de matières que des influences. Je ne me dis pas qu’on va faire pareil que tel groupe, parce que c’est déjà là. Quand tu crées un truc, ça doit sortir de toi et après, tu es plus à l’aise avec certaines sonorités que d’autres. Mais aller se dire qu’il nous faut tel truc d’un groupe et aller le prendre, ça serait tricher. Ce n’est pas du tout notre façon de fonctionner. Et puis on n’écoute pas les mêmes choses. Là j’ai écouté en boucle l’album de Rodriguez, mais lui il n’aime pas.

Olivier : En fait, on marche surtout à l’excitation. C’est un son qui va devenir un début de morceau et tout. Ça va nous procurer quelque chose, ça va nous plaire. La musique, ça fonctionne de manière assez primaire parfois.


    > On trouve dans Blouson Noir une alternance entre chaleur et froideur.

Simon :
C’est vrai. Il part vraiment de l’intérieur pour exploser. Les paroles, c’est quelqu’un qui se fait aspirer par la ville et tout ce qui le bouffe. Quand j’ai pensé à ce texte, j’étais à New-York et je marchais. Cette ville que je connais très bien était complètement différente, parce que je venais de me séparer et que, pour plein de raisons quand on se sépare, on perd un peu ses codes et ses repères classiques. Du coup, il y avait toute cette aspiration de la ville, ce truc qui fait que ça m’attrape. Et l’énergie de New-York, comme dans n’importe quelle grosse ville, peut être très nourrissante ou écrasante. Il y avait quelque chose de très jouissif dans l’idée de se laisser prendre par cette énergie-là. C’est ça que dit ce morceau. Il parle du grand intime, du blouson noir, jusqu’à l’extrême, de cette nuit générale et ce bruit de ville. Le morceau est construit comme ça donc c’est juste ce que tu dis, et c’est cool parce qu’on est compris !


    > Le titre est plutôt dansant, je trouve qu’il a un potentiel « club » . Du coup, est-ce qu’il pourrait être décliné sous forme de remixes ?

Simon
: Bien sûr ! Tu ne crois pas si bien dire ! Tu verras bientôt. C’est aussi l’idée qu’on avait, cette idée de danser, de faire de la musique pour l’âme et pour les pieds. Je trouvais ça très cool. Il y a un sentiment avec la danse qui est aussi très primaire, pour rejoindre ce que disait Olivier. Il y a une façon limite tribale de danser sur quelque chose qui t’intéresse. Tu ne réfléchis pas, ça te fait bouger et tu as une énergie qui se met en place, ce qui j’espère va se créer ce soir. L’idée qu’on puisse danser sur un titre comme ça qui raconte quelque chose de super intime, je trouve ça génial comme projet si ça marche.


    > Dernière question : ça fait quoi de se poser dans le Sud avec John Malkovich qui raconte des petits poèmes ?

Simon :
Ça fait plaisir ! Le fait que ça soit le Sud, je m’en moque et ça aurait très bien pu être le Nord ou l’Ouest. Mais c’est l’un des premiers à qui j’ai envoyé le projet. Avec Olivier on voulait présenter l’album d’une certaine manière et John Malkovich, sa voix pouvait vraiment raconter ça. Il y a des gens qui incarnent les mots mieux que d’autres, et lui en fait partie. Il n’a pas seulement une gueule, il a aussi tout une force de frappe. Je l’ai expérimenté et c’était cool. Ce qui était agréable, c’est qu’il avait une vraie écoute et un vrai œil sur notre travail et le fait d’avoir analysé le texte ensemble, c’était très positif. La cerise sur le gâteau, c’est quand allant là-bas, j’ai trouvé cette sculpture de bras grandiose, qui est une belle ouverture d’album car ça dit à l’auditeur bienvenue dans ce chapitre-là.


Merci à AaRON de nous avoir consacré un peu de leur temps !

Photos © Laure Clarenc

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.Charlotte
A Olivier et Simon comme Bodyguards
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MessageSujet: Re: Interview - Can you hear.fr - Printemps de Bourges - 08.06.2015    Interview - Can you hear.fr - Printemps de Bourges - 08.06.2015  EmptyMar 9 Juin 2015 - 14:28

Merci Lou! C'est génial, je n'avais pas eu le temps de la partager, et je venais le faire entre deux cafés quand je vois que tu l'as parfaitement relayée fleurs
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http://www.charlottebocquet.com
lullaby
S'envole au Canada
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MessageSujet: Re: Interview - Can you hear.fr - Printemps de Bourges - 08.06.2015    Interview - Can you hear.fr - Printemps de Bourges - 08.06.2015  EmptyMer 10 Juin 2015 - 10:50

Merci pour cette interview très instructive !
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