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 Interview - Victoire - 9 Juin 2012

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.Charlotte
A Olivier et Simon comme Bodyguards
.Charlotte

Féminin Nombre de messages : 3718
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MessageSujet: Interview - Victoire - 9 Juin 2012   Interview - Victoire - 9 Juin 2012 EmptyMar 12 Juin 2012 - 10:40

Retrouvez cette semaine AaRON en interview dans le dernier numéro du magazine Victoire (supplément du journal belge Le Soir le weekend).

Pour cette occasion le groupe revient sur son parcours.

Portrait Aaron : les électrons libres
Victoire - Samedi 9 juin 2012

Par Julie Luong

En 2007, Simon Buret et Olivier Coursier se prêtaient au jeu du shooting pour Victoire. Avec « U-Turn (Lili) », BO du film « Je vais bien, ne t’en fais pas », le duo Aaron était à la veille d’un succès qui, cinq ans et un double disque d’or plus tard, ne s’est pas démenti. Ils reviennent avec nous sur ces années qui ont passé, dixit, comme un éclair.

En 2007, dans Victoire, à la question : « Comment vous voyez-vous dans cinq ans ? », vous répondiez : « Libres ». L’êtes-vous autant que vous l’espériez ?

O.C. : Oui, on a toujours cette chance. Et c’est ce qui fait qu’on continue. Je pense que si on n’avait pas cette liberté, on ne pourrait plus créer grand-chose. D’ailleurs, on a conçu le deuxième album exactement comme le premier, à savoir tout seuls, chez moi. Or, aujourd’hui, c’est assez rare de ne pas avoir d’intervenants pendant le processus de création. On tient cette ligne.

S.B. : C’est toujours assez obsessionnel pour moi, cette question de liberté. Ce qui signifie faire des choix… lesquels peuvent être radicaux. Aujourd’hui, on a la chance d’avoir du succès, les salles sont pleines. Mais la liberté, c’est aussi de ne pas repartir en tournée, de s’arrêter plutôt que de continuer pour des questions d’argent, par exemple. C’est aussi simple que ça. Et puis, en ce qui concerne la création, il s’agit de ne pas suivre une espèce de mode, de faire notre musique à nous. Continuer à se parler, ne pas se faire piéger : ni musicalement ni l’un par l’autre.

Quels sont les pièges potentiels ?

S.B. : Il y en a beaucoup ! On m’a déjà sorti deux, trois trucs : qu’il fallait que je danse moins, par exemple. Mais je m’en suis foutu ! Et comme on a eu la chance d’avoir du succès tel qu’on était, ça nous a permis d’être plus libres pour le deuxième album. On s’est aussi très vite entourés de gens qui allaient dans la même direction que nous et on s’est tout aussi vite séparés de ceux qui ne nous correspondaient pas. On a la chance de pouvoir choisir. Or, autour de nous, on voit beaucoup de gens qui n’y arrivent pas. J’entends de ces discours ! Sur la non-liberté d’expression notamment : des jeunes qui commencent et à qui les producteurs disent : Fais pas ci, fais pas ça. Moi, ça me rendrait dingue. C’est exactement l’inverse de ce que je veux faire quand je crée quelque chose : me sentir complet.

Les contre-exemples étant très répandus, ça demande une certaine vigilance ?

S.B. : Oui, et d’être deux, ça aide. Quand l’un a des doutes, l’autre est là pour lui dire : Vas-y ! On se pousse.

O.C. : On essaie de garder au maximum nos premières idées intactes. Ce n’est pas pour rien qu’on a fait le premier album entièrement seuls : pour acquérir une certaine forme d’indépendance.

S.B. : Même s’il y a du business, on n’est pas des chefs d’entreprise. Donc, c’est important de rester le plus honnête possible par rapport à ce qu’on est.

Cinq ans, ça a passé vite ?

S.B. : Extrêmement vite.

O.C. : Complètement. Il s’est passé tellement de choses. On réalise avec un temps de décalage assez long. On vit des moments uniques, des pépites. Des choses qui arrivent vraiment très rarement dans une vie. D’autant plus qu’on les a partagées à deux.

S.B. : Le pire qui aurait pu nous arriver, c’est que tout cela n’existe que par rapport au premier album. Et que tout s’arrête. Pour moi, le deuxième album a suscité quelque chose de beaucoup plus fort encore, parce que j’avais digéré les émotions du premier.

O.C. : Ça a été très violent, encore plus pour toi, Simon. Moi, j’avais une petite expérience de la scène…

S.B. : Moi, pas du tout ! Je me demandais un peu ce que je faisais là, j’étais un peu dans l’angoisse. D’autant que j’avais des potes qui faisaient de la musique depuis des années et qui galéraient. C’est difficile de se sentir légitime tout de suite. Mais aujourd’hui, je suis plus serein : je me dis que le troisième album, on le fera quand on voudra et que, même si on n’est peut-être pas là pour toujours, on est sur le bon chemin.

Est-ce que vous adhérez encore complètement à vos premières chansons ?

S.B. : Oui, parce que, finalement, ça ne fait que cinq ans. Peut-être que dans vingt ans, on aura plus de distance. Mais quand on pense qu’au cinéma, ça prend plus ou moins cinq ans de faire un film... Moi, j’adhère encore complètement à ce que j’étais il y a cinq ans.

O.C. : C’est aussi lié à des moments de création. Je me souviens encore comment est né le début de chaque morceau. Ça, on ne peut pas me l’enlever.

S.B. : Et puis les versions, on les change tout le temps, il n’y a pas de lassitude.

Qu’est-ce qui, depuis cinq ans, s’est passé comme vous l’aviez prévu et ce qui, au contraire, a pris un tour inattendu ?

S.B. : Forcément, on avait une image de ce qu’il fallait faire : aller jouer en Angleterre, aux États-Unis et, effectivement, ça a été un gros kif. Maintenant, moi, j’aurais voulu faire encore plus.

O.C. : Il y a des choses qui prennent un peu plus de temps et on est tous les deux assez impatients.

S.B. : Le seul truc que j’aurais voulu, c’est trouver un bon manager, ça aurait aussi changé quelque chose dans notre tête. Parce que là, on doit gérer un à-côté. Mais bon, on a des pistes !

Simon, vous êtes le chanteur d’Aaron et c’est aussi vous qui écrivez les textes. Uniquement dans les bars, semble-t-il ?

S.B. : Oui, c’est vrai. Chez moi, je n’y arrive pas. Ou alors, très, très tôt le matin, dans les moments d’insomnie. Et aussi quand je suis en transit, dans un hôtel, j’y arrive beaucoup mieux. J’ai toujours aimé me poser et regarder les gens dans un coin. Chez moi, c’est trop calme, je ne suis pas dans l’action.

En tournée, ce sont de bons moments pour créer, alors ?

S.B. : Il y a des trucs qui viennent. Après, ça se retape, ça revient, c’est très bizarre, l’inspiration. J’ai des potes qui peignent ou qui écrivent et qui me disent qu’ils se lèvent à 8 h, qu’ils s’y mettent et qu’au final, ça vient, mais moi, je n’y arrive pas. Et puis, ça ne m’intéresse pas. C’est quelque chose qui m’aspire d’un coup et souvent, oui, ça se passe dans les bars.

O.C. : Moi, il faut que je lâche un peu mon quotidien. Que je parte en vacances et que je voie de nouvelles choses. J’ai besoin de cette perte de repères. Par contre, une fois qu’on se plonge vraiment dans le processus créatif, qu’on travaille, j’ai de nouveau besoin de ces repères.

Dans l’interview de 2007, vous disiez qu’en grandissant, les gens s’interdisaient l’imagination. Cinq ans plus tard, en avez-vous toujours autant ?

S.B. : J’ai vu tellement de gens la perdre ! Je viens d’avoir 30 ans et, autour de moi, j’ai vu plein de gens flipper de cet âge-là et se refermer complètement sur eux-mêmes. Parce que j’évolue dans un milieu justement très enfantin – parce que je pense que c’est ça la musique, l’art en général – je pense que je ne l’ai pas du tout perdue, au contraire. Il y a un choix qui se présente : soit on referme toutes les portes une à une, soit on les ouvre en grand. Entre 25 et 30 ans, je pense qu’on devient vraiment la personne qu’on va être. Et je me suis rendu compte que la vie qui m’appelle, c’est ça. Je veux que ma vie soit un perpétuel recommencement. Je m’aperçois que je suis beaucoup plus à l’aise dans l’inconnu que dans les certitudes, que c’est ça qui me plaît. De ne pas savoir où je vais. De découvrir des choses. De chercher. Plutôt que d’avoir un programme. Mais c’est aussi parce qu’on m’en a donné la possibilité. C’est pour ça que je trouve aussi cette position fragile et étrange : si on avait donné cette possibilité aux autres, seraient-ils dans le même état d’esprit ?

Pourquoi pensez-vous que certains referment les portes ?

S.B. : Parce qu’ils ont peur.

O.C. : Et puis parce que, parfois, c’est juste… compliqué. Moi aussi, j’ai toujours tout fait pour, mais bon, quand on essaie, que ça ne marche pas, qu’on réessaie, que ça ne marche pas…

S.B. : Je me suis toujours dit : Quelle horreur : être frustré, se rendre compte que tu n’y arriveras pas !

O.C. : C’est pour ça qu’on est aussi très conscients de notre chance.

Vous dites qu’on vous a donné cette possibilité d’ouverture, de création : comment ?

S.B. : J’ai évolué dans un milieu où l’on m’a dit : Fais ce que tu veux. Fais-le bien, travaille, mais fais ce que tu veux. J’avais le droit. Et puis, la chance que j’ai eue, c’est de rencontrer des gens qui étaient pleinement épanouis là-dedans : que ce soit dans le mannequinat, dans le cinéma ou aux Beaux-Arts de Bruxelles (Simon est acteur de formation, a travaillé comme mannequin et a passé un an à Bruxelles, NDLR). Ça m’a conforté dans l’idée qu’on avait le droit de faire ça, que ce n’était pas des conneries. Et que mon boulot pouvait aussi être la chose qui me nourrit, psychiquement.

Vous avez grandi dans un milieu artistique ?

S.B. : Ma mère fait de la photo, elle écrit. Et mon père, qui est américain, organise des voyages en kayak !

O.C. : Moi, c’est complètement l’opposé de Simon. Mes parents voulaient absolument que j’aie mon bac, un travail « normal » … et j’ai complètement fait l’inverse ! La musique est vraiment ce qui m’a permis de m’échapper de mon quotidien. Toute ma vie est basée sur le monde de l’enfance et même encore aujourd’hui. Je ne veux pas perdre ça. Les responsabilités ne me font pas peur, mais je n’aime pas le monde d’adultes qui suppose qu’on doive faire ceci parce qu’on a 30 ans et cela parce qu’on en a 35. Ça m’a toujours fait fuir.

Refermer les portes, personne n’aime ça après tout ?

S.B. : Non, et puis ça n’épanouit pas. Ce que je trouve marrant, c’est qu’Olivier et moi, on vient de deux milieux complètement différents et que, finalement, on fait la même chose. Donc, je me demande si tout ça a une vraie valeur. Après tout, on s’en fout que quelqu’un t’ait permis ou non de le faire. C’est sans doute lié un peu à autre chose aussi.

Qu’est-ce qui vous a marqué ces cinq dernières années, artistiquement parlant ?

S.B. : Le concert de Patti Smith à l’Olympia, qui m’a retourné la tête. J’ai vu cette femme de presque 70 ans qui a une rage complètement intacte, parfaitement à la même place qu’à 20 ans. J’en suis sorti bouleversé. Et son livre « Just kids », que j’ai lu quand j’étais aux États-Unis et qui m’a aussi bouleversé. Au cinéma, « Max et les Maximonstres » de Spike Jonze, parce que je pense que c’est ça, la vie. Il a amené ce livre pour enfants à un niveau de lecture tel qu’il montre ce qu’est un cerveau humain. Je rêve de cinéma comme ça.

O.C. : Moi, en concert, Sufjan Stevens. Je me suis pris une claque, on ressentait cette liberté, j’avais l’impression d’être à un concert des années 70 avec des morceaux qui duraient 20 minutes et faisaient complètement voyager. Ça aurait pu flirter avec le ridicule mais non, parce que c’était honnête. Et Kanye West, le vrai show à l’américaine. Au cinéma, « Into the Wild » de Sean Penn. Parce que ça parle de quelqu’un qui a choisi la liberté, même s’il en a payé le prix fort.

QUI ?

1975 Naissance d’Olivier Coursier.

1981 Naissance de Simon Buret.

2004 Première rencontre.

2007 « Artificial Animals Riding on Neverland », premier album, double disque d’or.

2010 « Birds in the Storm », deuxième album.

2011 « Waves from the Road », premier album live.


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MessageSujet: un électron ça gravite énormément ...   Interview - Victoire - 9 Juin 2012 EmptyMar 12 Juin 2012 - 11:07

moi je dis "vouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii"
très bonne interview ! Very Happy
que nos chers électrons d'Aaron continuent à graviter librement!! On adore! J'adore!
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toutidouti
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MessageSujet: Re: Interview - Victoire - 9 Juin 2012   Interview - Victoire - 9 Juin 2012 EmptyMar 12 Juin 2012 - 11:10

Merci pour la retranscription c'est génial !!!!
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MessageSujet: Re: Interview - Victoire - 9 Juin 2012   Interview - Victoire - 9 Juin 2012 EmptyMar 12 Juin 2012 - 11:17

Que ça fait du bien de lire du nouveau...

Par pitié que Simon n'arrête surtout pas de danser autant !!!

Merci pour l'interview I love you
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MessageSujet: Re: Interview - Victoire - 9 Juin 2012   Interview - Victoire - 9 Juin 2012 EmptyMar 12 Juin 2012 - 12:00

Ce sont vraiment des artistes rares pour se permettre justement autant de liberté ! Ah je les aime Smile
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MessageSujet: Re: Interview - Victoire - 9 Juin 2012   Interview - Victoire - 9 Juin 2012 EmptyMar 12 Juin 2012 - 12:11

Yé, cela fait plaisir d'avoir de leur news !!!! Very Happy

L'interview est très intéressante, très profonde et je suis 100% d'accord avec leur vision de la vie, rien n'est mieux que d'être LIBRE, et cela, peu de personnes se l'autorisent, et c'est bien dommage de se mettre des barrières tout le temps là où il n'y a pas lieu d'en mettre !!! drunken

C'est un véritable Bonheur d'entendre Simon parler ainsi, et de s'apercevoir qu'on est pas tout seul à avoir cette vision :

Citation :
SB : Il y a un choix qui se présente : soit on referme toutes les portes une à une, soit on les ouvre en grand. Entre 25 et 30 ans, je pense qu’on devient vraiment la personne qu’on va être. Et je me suis rendu compte que la vie qui m’appelle, c’est ça. Je veux que ma vie soit un perpétuel recommencement. Je m’aperçois que je suis beaucoup plus à l’aise dans l’inconnu que dans les certitudes, que c’est ça qui me plaît. De ne pas savoir où je vais. De découvrir des choses. De chercher. Plutôt que d’avoir un programme.
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MessageSujet: Re: Interview - Victoire - 9 Juin 2012   Interview - Victoire - 9 Juin 2012 EmptyMar 12 Juin 2012 - 12:27

J'aime, j'aime, j'aime. Je désespérais d'avoir des nouvelles de Simon et Olivier, en voilà de bien bonnes, ils sont toujours aussi entiers et LIBRES. Qu'ils continuent de créer à leur rythme, et nous on sera là. quand ils le voudront
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MessageSujet: Re: Interview - Victoire - 9 Juin 2012   Interview - Victoire - 9 Juin 2012 EmptyMar 12 Juin 2012 - 13:11

Ah ça fait du bien de relire une nouvelle interview ! C'est intéressant de voir ce qu'ils tirent de leur aventure avec le recul. Qu'ils continuent comme ça, libres, c'est pour ça qu'on les aime !
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MessageSujet: Re: Interview - Victoire - 9 Juin 2012   Interview - Victoire - 9 Juin 2012 EmptyMar 12 Juin 2012 - 14:00

Très très sympa cette interview, ça fait plaisir d'avoir un peu de neuf ! et les photos sont belles !

(J'ai acheté la version en ligne du magazine ce matin. Si j'avais su, j'aurais attendu un peu mrgreen)
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MessageSujet: Re: Interview - Victoire - 9 Juin 2012   Interview - Victoire - 9 Juin 2012 EmptyMar 12 Juin 2012 - 14:18

Comment peut-on demander à Simon de bouger moins? Surtout que les personnes qui ont dû lui dire ça devaient le connaitre mieux que nous, et donc parfaitement savoir l'importance que ces deux-là accordent à la liberté. Surprised

Sinon, j'ai beaucoup aimé cette interview, j'ai l'impression que ça faisait un moment qu'on en avait pas eu une aussi développée, même sans compter le temps qui s'est écoulé depuis les dernières. Smile & j'avoue que je me tâtais pour acheter le magazine en ligne, moi aussi. ^^
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MessageSujet: Re: Interview - Victoire - 9 Juin 2012   Interview - Victoire - 9 Juin 2012 EmptyMar 12 Juin 2012 - 14:24

Joyce a écrit:
Comment peut-on demander à Simon de bouger moins? Surtout que les personnes qui ont dû lui dire ça devaient le connaitre mieux que nous, et donc parfaitement savoir l'importance que ces deux-là accordent à la liberté. Surprised

En réalité c'est lors de la première tournée, les critiques de concert reprenaient souvent pour détail les danses personnelles de Simon, les qualifiant souvent d'étranges. Et si parfois ce n'était pas en termes négatifs il arrivait régulièrement que ce soit totalement incompris... ça l'a beaucoup touché. Rolling Eyes
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MessageSujet: Re: Interview - Victoire - 9 Juin 2012   Interview - Victoire - 9 Juin 2012 EmptyMar 12 Juin 2012 - 15:13

Ah, c'est moi qui ait mal compris alors. Vu la formulation on aurait pu penser que la demande venait de la maison de disques ou je ne sais quoi. Mais c'est vrai que c'est plus logique que ça vienne des critiques. Après, je peux comprendre que l'emportement de Simon sur scène (je sais pas si c'est le bon mot, emportement. Il est juste à fond, quoi. Normal) puisse être perçu comme quelque chose de bizarre, mais de là à lui demander de changer... En tous cas, s'il ne l'a pas fait, c'est tant mieux pour lui, pour eux. Parce que s'ils commençaient à bouleverser les choses pour plaire aux critiques, ils seraient pas sortis de l'auberge... Rolling Eyes
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Emmanuelle
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MessageSujet: Re: Interview - Victoire - 9 Juin 2012   Interview - Victoire - 9 Juin 2012 EmptyMer 13 Juin 2012 - 23:19

Aaaaahhhh les voyages en Kayak ! <3

Sympathique interview ! Ca fait du bien de les lire à nouveau !
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JuTheRipper
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MessageSujet: Re: Interview - Victoire - 9 Juin 2012   Interview - Victoire - 9 Juin 2012 EmptyJeu 14 Juin 2012 - 21:55

Très cool cette interview ! Merci bien !
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hayley.jude
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MessageSujet: Re: Interview - Victoire - 9 Juin 2012   Interview - Victoire - 9 Juin 2012 EmptyMer 20 Juin 2012 - 13:03

" - Pourquoi pensez-vous que certains referment les portes ?
- Parce qu’ils ont peur".

Très bien dit Smile
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MessageSujet: Re: Interview - Victoire - 9 Juin 2012   Interview - Victoire - 9 Juin 2012 Empty

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